Essay
Quelques Réflexions sur le Salaire
Dec 24, 2020
Donné que la plupart de mes lecteurs sont français (salut David et Anaïs), je vous présente un blog en français pour la première fois. Bonne lecture !
Un tout petit histoire de notre méthode de salaire
A l’aube de la Révolution Industrielle, le système de salaire qu’on aurait vu le plus fréquemment était salaire à la pièce. C’est-à-dire que les ouvriers (ou ouvrières, dans le cas de plein des fabricants de textiles) recevaient d’argent pour chaque pièce ou groupe des pièces qu’ils créaient. Au fur et à mesure, cette méthode a changé parce que le système est devenu plus compliqué, plus spécialisé. Un seul ouvrier ne pouvait plus fabriquer une pièce complète. Par conséquent, la gestion a introduit une nouvelle conception : un salaire à partir du nombre d’heures travaillées.
Quand l’économie de l’occident a transféré en grande partie à une industrie des services, on a conservé la méthode de payer les ouvriers. Cette méthode n’était pas facile à démanteler, parce que, n’oubliez pas, la législation écrite sur le politique du travail était adoptée pour le travail en usine : pour exemple, la législation régissante les heures du travail (au maximum 40), les limitations physiques, etc. Dans l’ensemble, dans la deuxième partie du 20ième siècle, il n’y avait pas une raison a changer la méthode. Il y avait toujours plein de monde travaillant en usine, et le col blanc voyageait au bureau chaque jour en train et en voiture. Mais les grands changements dans la façon de travail soulèvent une grande question de cette méthode : est-il logique de payer les employés par heure ?
Les avantages de cette méthode
Avant de critiquer, c’est toujours bénéfice à penser sérieusement aux avantages d’une logique. C’est-à-dire, pourquoi personne n’a pensé ou tenté à changer le système ? Pour mon part, je trouve qu’il y a un inexplicable nombre de choses qui dépassent leur date d’échéance. Donc, juste parce que quelque chose dure ne suffise pas à certifie que cette chose fonctionne bien. De toute façon, je dirais qu’on n’a pas changé le système parce que c’est le mode préféré des employés. Pourquoi ?
Parce que c’est facile à cacher qu’on ne travaille pas avec tout assiduité tout le temps. On peut se relaxer. Pas se relâcher, mais avoir de la sérénité de jour à jour. Peut-être un jour on est fatigué et on n’accomplit pas trop ; ce n’est pas une grande chose parce qu’on peut compenser ailleurs le prochain jour. Personnellement j’étais considérablement plus à l’aise quand j’ai commencé à travailler dans un bureau pour cette exacte raison, pour ne devant plus à enregistrer mes heures d’arrivée et de départ. Cette méthode expose aussi que les promotions ne sont pas liées directement avec les heures travaillées ; en fait c’est exactement parce qu’on s’attend une promotion après quelques années, souvent en dépit des qualifications, qu’on est découragé à travailler plus que son voisin.
Mais il y a une raison plus profonde pour ne pas avoir changé le système : comment peut-on quantifier les activités de col blanc ? Par chaque courriel, rapport, réunion ? On paye par projet, peut-être, mais un seul projet pourrait durer quelques mois. En ce cas-là, un employé est payé pour un total des heures travaillés une fois terminée, plus ou moins un salaire.
Le moment est-il venu de changer ?
Dans un seul mot – oui. Mais comment ? Pour mettre à jour notre system de salaire, d’abord il faut admettre que les temps ont changé. Si un pays a développé jusqu’au point que la majorité des travailleurs sont en col blanc, ces personnes ne vivaient plus au jour le jour. C’est-à-dire qu’aujourd’hui si on est privilégié d’avoir travail de bureau ou travail qualifié, peu importe si on travaille une heure plus ou moins parce qu’on n’aura pas privé des fondements de l’existence. Donc la motivation pour travailler plus est pour quelque chose différente que par le passé. Maintenant, il est temps de concentrer notre attention sur la réalisation de potentiel des travailleurs.
Au lieu de s’axe sur la rémunération, je propose qu’on demande comment le travail peut devenir plus individualisé pour le travailleur moyen. Comment est-ce qu’on utilise la technologie pour adapter la vie dans un bureau ? Dans une manufacture, c’est difficile pour un travailleur à se distinguer. Dans le bureau la gestion pourrait être plus souple aux nouvelles idées des employés et permet le changement de venir de chaque niveau.
A mon avis, le travailleur du vingt et unième siècle a envie de plus que le salaire le plus élevé que possible. Dans la hiérarchie des besoins, le niveau le plus haut s’appelle « le besoin d’accomplissement de soi » : où le travail donne sens à sa vie, on se sent accompli par le travail. J’ajouterais à cette création du vingtième siècle que dans notre jour nous avons besoins de sentir que notre travail doit être faite par un humain, et pas un robot. On voudrait se sentir qu’au travail il y a une communauté qui respecte et écoute à ses contributions. Dans le cas présent, l’employé prouve son importance et l’employeur est reconnaissant à chaque employé pour ses contributions uniques. Souvent quand un employeur reconnaît la valeur d’un employé de cette façon, il donne un salaire à la mesure de son importance, aussi.
Réflexions finales
Donc je ne vous ai pas donné un meilleur système de salaire pour notre jour, mais ceci n’était pas le but principal. Le but était à réfléchir au système, l’histoire de comment nous sommes arrivés ici, et si on peut commencer à adapter un système dépassé aux besoins d’aujourd’hui. Je crois que oui, tout est possible si on voit les employés comme plus que les machines, et comme des individus.